Traditionnellement, la sélection génétique pour augmenter les rendements dans la luzerne s’est concentrée sur les caractéristiques aériennes de la plante en ignorant en grande partie la contribution potentielle du système racinaire à l’amélioration du rendement.

Par contre, les racines ont le potentiel d’influer sur la fixation de l’azote, l’absorption des nutriments, l’efficacité de l’utilisation de l’eau, la résistance des plantes au soulèvement, la résistance à l’hiver et la tolérance aux ravageurs. Dans cette chronique, l’experte-Fourragère Roselyne Gobeil, agronome chez Semican, nous prouve qu’on a tout intérêt à porter attention à la luzerne…sous terre!

Cette capsule est issue d’une collaboration entre le Conseil québécois des plantes fourragères et le Bulletin des agriculteurs, et est présentée par Semican.

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Connaissez-vous vos rendements champ par champ, et vos coûts de production pour y arriver ? À titre d’exemple, les données dans Chaudière-Appalaches varient entre 2,2 et 12 tonnes de rendement en matière sèche, et de 100$ à 1 000$ la tonne pour les coûts de production. C’est donc dire que prendre une décision basée sur une moyenne nous mène directement… dans le champ!

Dans cette capsule, Sébastien Routhier, de la Ferme GPS Routhier de St-Étienne-de-Lauzon, et sa conseillère en gestion, l’agronome Caroline Collard, vous partagent leurs astuces pour la prise de rendements au champ et discutent de l’impact de connaître le potentiel d’amélioration d’une terre avant de faire ses choix d’investissement.

Cette capsule est issue d’une collaboration entre le Conseil québécois des plantes fourragères et le Bulletin des agriculteurs, et est présentée par Mon système fourrager.

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Christian Duchesneau signe cet article.

"Après un début prometteur, les défis se sont multipliés cette année pour les fourrages."

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Caroline Matteau signe cet article.

"La dormance automnale de la luzerne correspond à la capacité de la plante à repousser après une coupe effectuée à l’automne et au printemps suivant. Cette caractéristique est évaluée sur une échelle de 1 à 11, où 1 représente le cultivar le plus dormant et 11 le moins dormant. Au Québec, les cultivars les plus couramment utilisés sont de classe 3 et 4."

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Brigitte Lapierre signe cet article.

"Juillet et août sont habituellement les bons mois pour aller constater comment vont les rendements dans les prairies. Souvent dès le premier regard, on peut prévoir si le champ sera rentable ou pas. Outre les données de rendements, je pense que la pelle devrait être notre compagne de toutes les visites de champs. J’ai failli me faire prendre à mon propre jeu de regarder seulement à la surface du sol. Je m’explique. "

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Roselyne Gobeil signe cet article.

"Traditionnellement, la sélection génétique pour augmenter les rendements dans la luzerne s’est concentrée sur les caractéristiques aériennes de la plante en ignorant en grande partie la contribution potentielle du système racinaire à l’amélioration du rendement. Ce dernier peut contribuer toutefois en facilitant l’accès à l’eau et aux nutriments."

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Maxime Leduc signe cet article.

"Les fourrages, et plus précisément les ensilages, sont l’aliment principal des ruminants, qu’il s’agisse de bovins laitiers, de bovins de boucherie, d’ovins ou de caprins. La qualité de l’ensilage joue un rôle crucial dans la performance et la santé des animaux. Un ensilage de mauvaise qualité peut non seulement réduire les performances des animaux et affecter leur santé, mais aussi augmenter les coûts de production."

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"Votre troupeau a des besoins alimentaires spécifiques : les variétés qui se trouvent dans vos prairies devraient s’y adapter. Mais attention ! Les variétés semées ne sont pas toujours les variétés récoltées ! Prendre le temps d’aller vérifier ce qui pousse réellement dans vos prairies au cours de l’été vous permet de réagir au bon moment si des ajustements sont nécessaires à l’implantation des prochaines prairies. N’hésitez pas à faire collaborer vos conseillers en semences fourragères et vos conseillers en nutrition pour obtenir des fourrages adaptés, et ainsi, les résultats attendus dans l’étable !"

Dans cette nouvelle capsule Experts-Fourragers, Lyne Beaumont, agronome chez Sollio Agriculture, vous explique comment vous y retrouver.

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Jean-François Lemay signe cet article.

"Un cas rencontré récemment : Deux producteurs voisins qui ont le même style de régie de coupe de plantes fourragères destinées à des vaches laitières. Deux champs presque côte-a-côte avec des populations similaires de luzerne et de graminées (mil et fétuque des prés)."

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Christian Duchesneau signe cet article.

"*Les plantes fourragères pérennes sont souvent prisées pour leur capacité à capter le carbone atmosphérique et à le séquestrer dans le sol. Et si l’impact positif des fourrages sur les émissions de gaz à effet de serre s’étendait au-delà du champ et jusqu’à la mangeoire ?"

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Caroline Matteau signe cet article.

"*De nombreux microorganismes jouent un rôle crucial dans le maintien et le succès de nos cultures. Par exemple, l’association symbiotique avec la bactérie rhizobium permet aux légumineuses de fixer l’azote atmosphérique, tandis que les hyphes mycorhiziens augmentent la surface d’absorption des racines tout en améliorant la structure du sol."

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Jean-François Lemay signe cet article.

"*Qu’est-ce que je devrais appliquer dans l’ensilage du dessus de silo: des inoculants ou de l’acide propionique ? Cette question revient souvent présentement."

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Brigitte Lapierre signe cet article.

"*L’été s’est bien installé avec la canicule des semaines dernières et les orages ici et là.  La croissance des cultures apparaît dans les paysages campagnards et les appels commencent à être un peu moins nombreux."

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Roselyne Gobeil signe cet article.

"On associe les plantes fourragères pérennes à la santé des sols. Et c’est bien vrai, elles ont le potentiel de structurer et maintenir la vie microbienne comme aucune autre culture. Malgré tout, il est possible de croiser des sols compactés lors de suivis au champ de prairies. Le sol peut être compacté avant le semis ou lorsque la culture est en place. Les entrées de champs sont un exemple amplifié de l’effet que la compaction peut avoir. Assurément, vous ne voulez pas que votre champ entier soit dans cette situation!"

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Céline Normandin signe cet article.

"Annie Flamand, directrice de l’intégration des programmes en assurances à la Financière agricole, confirme que sans être exceptionnellement hâtive, elle s’est produite de quelques jours à une semaine plus tôt cette année. En date du 4 juin, moment où a été réalisé l’état des cultures de la Financière, même l’Abitibi-Témiscamingue avait débuté sa récolte, note-t-elle. « C’est un bon début de première fauche, il n’y a pas eu de problèmes significatifs ce printemps, comme des inondations. On n’a pas encore les résultats finaux, mais selon ce qu’on peut voir actuellement, on a bon espoir d’avoir une bonne première fauche. »"

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Maxime Leduc signe cet article.

"Les inoculants peuvent rendre la fermentation de l’ensilage plus efficace, préservant ainsi davantage de nutriments et de matière sèche, tout en améliorant parfois les performances des animaux. Certains inoculants sont également conçus pour améliorer spécifiquement la stabilité aérobique des ensilages. Ceci est crucial, car une grande partie de la matière sèche perdue dans un silo résulte de la détérioration aérobique pendant le stockage et l’alimentation."

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Jean-François Lemay signe cet article.

"Tout est cher! Cette phrase, on l’entend souvent depuis quelques temps. Les producteurs cherchent à sauver des sous un peu partout, que ce soit dans l’engrais, les semences, les aliments, etc…"

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Caroline Matteau signe cet article.

"Avec un début de saison hâtif, l’heure a sonné pour la première coupe dans plusieurs régions du Québec. Le MAPAQ nous rapportait au 22 mai qu’en Montérégie, c’est 72 degrés-jours de plus que la moyenne des années 1981 à 2010 qui ont été enregistrés. Cela aura comme effet de précipiter les stades de maturité des plantes fourragères ainsi que des céréales d’automne."

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Roselyne Gobeil signe cet article.

"Ceux qui me connaissent bien ne seront pas étonnés du sujet que j’ai choisi de traiter aujourd’hui puisqu’il me me tient particulièrement à cœur! Et quel bon moment pour en jaser alors que le MAPAQ a rendu public ses toutes nouvelles grilles de fertilisation ce printemps."

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Christian Duchesneau signe cet article.

"Il m’arrive d’être appelé par un producteur agricole pour évaluer un semis d’un champ de luzerne ou d’une prairie qui n’a pas bien fonctionné ou qui est clairsemé. L’échec d’un semis peut s’expliquer par de nombreuses raisons, dont certaines sont plus faciles à déchiffrer que d’autres."

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Maxime Leduc signe cet article.

"Le début de la mise au pâturage des animaux est un sujet récurrent pour les éleveurs chaque année. La gestion efficace du pâturage est cruciale : il est recommandé de commencer la paissance lorsque la hauteur de l’herbe atteint entre 15 et 35 cm, selon les espèces, et de quitter le pâturage lorsque l’herbe est réduite à environ 10 cm."

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Brigitte Lapierre signe cet article.

"Le 8 mars dernier, plusieurs régions du Québec n’étaient plus sous couvert de neige. Par exemple, en Estrie à cette date, un beau soleil avec une température de 14 oC se pointait, ça sentait déjà le printemps! Et puis deux jours après, la couverture blanche est revenue et on a pu ressortir les motoneiges qui n’ont d’ailleurs pas servi beaucoup cet hiver!"

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Sylvain Chabat signe cet article.

"Les sols se réchauffent jour après jour, il est donc bientôt temps d’entrer dans les champs pour commencer les semis de vos prairies. Cette période est cruciale pour assurer une bonne implantation de votre culture, car elle permettra aux espèces présentes de se développer dans de bonnes conditions pour faire leur place la première année puis, subsister durant les suivantes. Voici trois points importants à prendre en compte pour optimiser vos opérations de semis."

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Christian Duchesneau et Jean-François Lemay signent cet article.

"La saison n’est pas terminée et heureusement, les prévisions météo annoncent du temps chaud et sec, ce qui ne s’est pas vu depuis juin! Il n’est donc pas trop tard pour récolter des fourrages de qualité mais voici ce que deux de nos experts avaient à dire sur la saison 2023."

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Brigitte Lapierre, directrice des ventes pour l'Ouest du Québec chez DLF Canada, signe cet article.

"Une des questions qui est souvent posée ces derniers jours est que faire avec ces plantes fourragères qui n’ont jamais été ramassées et qui sont beaucoup trop matures maintenant. Devrait-on forcer et les enlever?  "

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Maxime Leduc, consultant, signe cet article.

"L’ensilage de maïs tient une place primordiale dans l’alimentation des troupeaux laitiers, ce qui confère à chaque étape, depuis la croissance des cultures jusqu’à leur introduction dans les mangeoires, une importance capitale. La saison de récolte approche à grands pas et afin de mieux vous préparer, voici 7 points à considérer pour bien s’y préparer."

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Syvain Chabat, gestionnaire de compte chez Pedigrain, signe cet article.

"Lorsque les conditions hydriques sont optimales, une implantation précoce de la luzerne durant l’été favorisera son développement. En effet, de bonnes conditions vont permettre à la plante d’avoir une levée rapide et homogène, un enracinement profond ainsi qu’un stockage en sucre optimal dans sa racine pivot."

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Jean-François Lemay, expert spécialisé en production laitière, signe cet article.

"Les semis de plantes fourragères d’été (environ de la mi-juillet jusqu’au 20 août) peuvent être une alternative intéressante aux semis de printemps… mais il faut absolument que la pluie et l’humidité du sol soient au rendez-vous."

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Christian Duchesneau, expert spécialisé en plantes fourragères et gazon, signe cet article.

"Les semis de plantes fourragères d’été (environ de la mi-juillet jusqu’au 20 août) peuvent être une alternative intéressante aux semis de printemps… mais il faut absolument que la pluie et l’humidité du sol soient au rendez-vous."

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Maxime Leduc, consultant, signe cet article.

"Le semis de plantes fourragères est une pratique agricole essentielle qui peut être réalisée à deux moments clés de l’année. Le premier est au printemps, lorsque le sol est humide et que les risques de sécheresse sont faibles. Cette approche favorise un bon établissement des plantes fourragères, comme la luzerne, garantissant ainsi leur survie hivernale. Le second moment est en fin de saison, en août, pour éviter les risques de sécheresse du mois de juillet. Cette méthode permet une implantation des prairies avec une compétition moindre des mauvaises herbes. Cependant, pour assurer le succès de ces semis, il est crucial de respecter certains éléments clés.."

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Roselyne Gobeil, directrice de territoire chez Semican, signe cet article.

"Les semis des plantes fourragères sont au ralenti depuis deux ans dû à l’inventaire sur les fermes. Malgré tout, plusieurs prairies ont été semées ce printemps et l’heure est au suivi de ces implantations."

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Jean-François Lemay, expert spécialisé en production laitière chez Sollio Agriculture, signe cet article.

"En moyenne c’est bien, mais comme je m’amuse souvent à le dire « une main dans le poêle et une main dans le frigo, en principe si je fais la moyenne je devrais être bien ». C’est un peu ce qui se passe cette année du côté de la première fauche 2023. Les moyennes, c’est rarement représentatif !"

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Syvain Chabat, gestionnaire de compte chez Pedigrain, signe cet article.

"La fenaison représente un dilemme important pour les éleveurs. Les différentes étapes depuis la récolte jusqu’à la conservation doivent être parfaitement maîtrisées afin de limiter les pertes tout en optimisant les vitesses de séchage et la qualité des foins qui seront donnés au bétail."

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Brigitte Lapierre, directrice des ventes pour l'Ouest du Québec chez DLF Canada, signe cet article.

"*Le temps des semis est fini et il me reste quelques sacs de semences de fourragères, ouverts ou non. Je suis déjà dans les arrosages pour le maïs et j’oublie un peu ces sacs.  Seront-ils bons pour le printemps suivant? J’espère bien que oui et le printemps revenu, je décide de les semer. Puis-je m’attendre à obtenir d’aussi bons résultats qu’avec des nouvelles semences apportées par mon semencier?"

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Roselyne Gobeil, directrice de territoire chez Semican, signe cet article.

"Plusieurs régions du Québec ont commencé les foins, alors que d’autres attendent un peu de chaleur et/ou de précipitations. Chose certaine, c’est qu’après les foins, vient le temps de fertiliser pour optimiser les rendements de deuxième coupe. Pas de temps à perdre! Avec le prix des engrais minéraux actuel, la popularité des engrais organiques n’a jamais été aussi grande, mais est-ce bien ce qui convient pour vos champs?"

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Sylvain Chabat, gestionnaire de compte chez Pedigrain, signe cet article.

"Même si cette année la première coupe arrive déjà à grands pas, une bonne pratique pourrait vous permettre d’optimiser la qualité de vos fourrages dans le futur : le déprimage."

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Brigitte Lapierre, directrice des ventes pour l'ouest du Canada chez DFL Canada, signe cet article.

" Nous connaissons des conditions printanières un peu embêtantes cette année. Plusieurs avis de gel au sol ont été annoncés et des gels ont sévi, tandis que durant le jour, nous atteignons des 20°C. 
Pour nous les humains, il est facile de s’ajuster; nous ajoutons un kangourou ou nous l’enlevons et nous devenons ainsi confortables. 
Par contre, la luzerne ne peut pas en faire autant."

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Christian Duchesneau, expert spécialisé en plantes fourragères et gazon chez Synagri, signe cet article.

" J’espère que vous savez que la fertilisation est tout aussi importante pour les fourrages que pour les grandes cultures afin de maximiser la productivité. Si vous ne le saviez pas alors voici les considérations importantes à tenir compte à ce temps-ci du printemps."

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Maxime Leduc, consultant expert fourrager, signe cet article.

" Qui dit printemps, dit risque d’observer de la mortalité des prairies durant l’hiver et aussi gestion de crises pour régler la problématique. Une des stratégies pour gérer cette crise est l’utilisation de la technique du sursemis. Alors, voici les différentes techniques de sursemis à la portée des producteurs selon les différents moments de l’année."

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Jean-François Lemay, expert spécialisé en production laitière chez Sollio Agriculture, signe cet article de la chronique Expert Fourrager.

" Tout le monde est au courant que le marché de la protéine et de l’énergie a explosé ces dernières années. Pour les producteurs ayant des animaux à nourrir, le coût des intrants ira probablement en augmentant. Conséquence, les liquidités seront encore moins bonnes.

Comment faire alors pour baisser les factures de concentrés? Pour contrer ces hausses, le meilleur levier sur une entreprise agricole, c’est de se pencher sur la récolte de fourrages de qualité afin de réduire le montant des dépenses."

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C'est Roselyne Gobeil qui a eu l'honneur de rédiger le premier article de la saison, pour la Chronique Expert Fourrager, dans le Bulletin des agriculteurs.

Elle nous fait donc un tour d’horizon de la survie des champs de foin de la province.

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